DIRECTION OPÉRATIONNELLE
SOCIO JUDICIAIRE
La réinsertion est un levier pour prévenir la récidive et construire une société plus sûre. La Direction Opérationnelle Socio-Judiciaire accueille et accompagne des personnes placées sous main de justice dans un objectif de réinsertion, de lutte contre la récidive et d’aide à la décision pour les magistrats.
Notre mission principale en tant que direction socio-judiciaire est de travailler sur l’insertion à travers le prisme socio-judiciaire. Nous intervenons principalement sur saisine des tribunaux, mais également d’autres orienteurs pour enquêter, suivre, contrôler ou encore accompagner les personnes impliquées dans une procédure judiciaire.
Nous sommes l’apport social dans le milieu judiciaire, avec une expertise spécifique et soutenant les juridictions dans nos compétences réciproques.
Nos objectifs sont multiples : nous accompagnons les individus concernés par des procédures judiciaires pour favoriser leur autonomie et prévenir la récidive. Nous souhaitons être un support efficace pour les magistrats en apportant des éléments contextuels et d’analyse à leurs décisions.
Par ailleurs, nous jouons un rôle de soutien pour d’autres acteurs en lien avec le milieu judiciaire qui peuvent être confrontés aux spécificités de ce public.
Notre équipe est composée de professionnel·le·s aux parcours variés, ce qui enrichit notre approche. Nous comptons des intervenant·e·s socio-judiciaires – principalement des juristes – des éducateur·rice·s spécialisé·e·s, des assistant·e·s administratifs·ves ainsi que des professionnel·le·s du domaine de la santé, tels que des psychologues clinicien·ne·s, un·e médecin et un·e infirmier·ère.
Cette pluridisciplinarité nous permet d’offrir une prise en charge globale et adaptée à la diversité des situations que nous rencontrons.
Nous travaillons avec des individus impliqués dans des procédures judiciaires, tant au civil qu’au pénal.
Ce sont souvent des auteurs présumés d’infractions, mais également des personnes engagées dans des procédures au civil, comme des conflits familiaux.
Nous rencontrons un large éventail de profils sans distinction sur les origines, car notre focus reste sur l’aspect judiciaire et l’accompagnement nécessaire.
Nous concentrons notre suivi sur le nombre de personnes accompagnées dans les procédures pénales et civiles, ainsi que sur les personnes hébergées.
En hébergement, nous disposons de 91 places.
Notre accompagnement suit les orientations des tribunaux, sans réelle limite sur les suivis judiciaires en raison de la variabilité des saisines et mandats.
Nous hébergeons actuellement jusqu’à 91 personnes, tout en gérant les fluctuations des orientations judiciaires pour nos suivis sans hébergement.
La durée d’accompagnement varie selon les mandats spécifiques. Certains suivis nécessitent des interactions rapides, d’autres peuvent durer plusieurs années. Les dispositifs d’hébergement ont leurs propres cadres temporels.
Nous bénéficions de multiples financements, incluant notamment la DDETS, la préfecture, l’ARS, la CPAM, le ministère de la Justice, le Conseil régional, le conseil départemental ainsi que certaines fondations. Notre financement est diversifié pour soutenir notre mission variée et complexe.
Nous travaillons en partenariat avec les tribunaux judiciaires, les magistrat·e·s, le SPIP, les avocat·e·s, ainsi que divers acteur·rice·s du secteur social.
Nous collaborons également avec d’autres associations et collectivités locales afin de garantir une approche globale et intégrée dans le cadre de nos missions.
Les tribunaux judiciaires sont les principaux orienteurs de notre public mais nous recevons aussi des orientations du SIAO, du SPIP ou encore de la préfecture pour les hébergements.
Lorsqu’une personne est mise en cause pour des faits de violences conjugales, une enquête sociale rapide est effectuée par l’ARILE pour comprendre sa situation.
A la suite, le magistrat peut imposer un contrôle judiciaire comprenant des obligations spécifiques, telles que des soins psychologiques.
Si le contrôle judiciaire nous est confié, notre équipe assure le suivi et la vérification du respect des obligations, tout en engageant un travail de fond avec la personne pour prévenir la récidive, travailler sur les comportements et encourager l’autonomie et la non-violence.
Si nécessaire, notre dispositif d’hébergement peut accueillir la personne pour assurer une séparation géographique de la victime.
Dans l’hypothèse d’une condamnation, le suivi peut se poursuivre afin de continuer le travail engagé.
Les membres de l’équipe et les différents dispositifs sont plus ou moins sollicités en fonction de la commande du tribunal et des besoins de la personne.
LES DISPOSITIFS D'ACCOMPAGNEMENT
LES DISPOSITIFS DE LA DIRECTION
Par le biais d’enquêtes sociales familiales et d’auditions de mineurs, l’ARILE éclaire le magistrat sur une situation familiale et effectue des préconisations pour l’organisation de la garde des enfants.
L’ARILE agit aussi, au pénal, pour prévenir la récidive en mettant l’accent sur la réinsertion sociale. L’objectif est d’accompagner les personnes concernées vers une prise de conscience et une réflexion constructive sur leurs actes.
Spécialisée dans la prise en charge des auteurs d’infractions, notamment de violences conjugales, l’ARILE est co-porteur, avec Espérer 95…
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QUELQUES CHIFFRES 2024
NOTRE ACTUALITÉ
AUTONOMIE | ÉCO-RESPONSABILITÉ | HUMAIN | LAÏCITÉ | LIBERTÉ | SOUTIEN | TOLÉRANCE
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La réinsertion est un levier pour prévenir la récidive et construire une société plus sûre. La Direction Opérationnelle Socio-Judiciaire accueille et accompagne des personnes placées sous main de justice dans un objectif de réinsertion, de lutte contre la récidive et d’aide à la décision pour les magistrats.
Notre mission principale en tant que direction socio-judiciaire est de travailler sur l’insertion à travers le prisme socio-judiciaire. Nous intervenons principalement sur saisine des tribunaux, mais également d’autres orienteurs pour enquêter, suivre, contrôler ou encore accompagner les personnes impliquées dans une procédure judiciaire.
Nous sommes l’apport social dans le milieu judiciaire, avec une expertise spécifique et soutenant les juridictions dans nos compétences réciproques.
Nos objectifs sont multiples : nous accompagnons les individus concernés par des procédures judiciaires pour favoriser leur autonomie et prévenir la récidive. Nous souhaitons être un support efficace pour les magistrats en apportant des éléments contextuels et d’analyse à leurs décisions.
Par ailleurs, nous jouons un rôle de soutien pour d’autres acteurs en lien avec le milieu judiciaire qui peuvent être confrontés aux spécificités de ce public.
Notre équipe est composée de professionnel·le·s aux parcours variés, ce qui enrichit notre approche. Nous comptons des intervenant·e·s socio-judiciaires – principalement des juristes – des éducateur·rice·s spécialisé·e·s, des assistant·e·s administratifs·ves ainsi que des professionnel·le·s du domaine de la santé, tels que des psychologues clinicien·ne·s, un·e médecin et un·e infirmier·ère.
Cette pluridisciplinarité nous permet d’offrir une prise en charge globale et adaptée à la diversité des situations que nous rencontrons.
Nous travaillons avec des individus impliqués dans des procédures judiciaires, tant au civil qu’au pénal.
Ce sont souvent des auteurs présumés d’infractions, mais également des personnes engagées dans des procédures au civil, comme des conflits familiaux.
Nous rencontrons un large éventail de profils sans distinction sur les origines, car notre focus reste sur l’aspect judiciaire et l’accompagnement nécessaire.
Nous concentrons notre suivi sur le nombre de personnes accompagnées dans les procédures pénales et civiles, ainsi que sur les personnes hébergées.
En hébergement, nous disposons de 91 places.
Notre accompagnement suit les orientations des tribunaux, sans réelle limite sur les suivis judiciaires en raison de la variabilité des saisines et mandats.
Nous hébergeons actuellement jusqu’à 91 personnes, tout en gérant les fluctuations des orientations judiciaires pour nos suivis sans hébergement.
La durée d’accompagnement varie selon les mandats spécifiques. Certains suivis nécessitent des interactions rapides, d’autres peuvent durer plusieurs années. Les dispositifs d’hébergement ont leurs propres cadres temporels.
Nous bénéficions de multiples financements, incluant notamment la DDETS, la préfecture, l’ARS, la CPAM, le ministère de la Justice, le Conseil régional, le conseil départemental ainsi que certaines fondations. Notre financement est diversifié pour soutenir notre mission variée et complexe.
Nous travaillons en partenariat avec les tribunaux judiciaires, les magistrat·e·s, le SPIP, les avocat·e·s, ainsi que divers acteur·rice·s du secteur social.
Nous collaborons également avec d’autres associations et collectivités locales afin de garantir une approche globale et intégrée dans le cadre de nos missions.
Les tribunaux judiciaires sont les principaux orienteurs de notre public mais nous recevons aussi des orientations du SIAO, du SPIP ou encore de la préfecture pour les hébergements.
Lorsqu’une personne est mise en cause pour des faits de violences conjugales, une enquête sociale rapide est effectuée par l’ARILE pour comprendre sa situation.
A la suite, le magistrat peut imposer un contrôle judiciaire comprenant des obligations spécifiques, telles que des soins psychologiques.
Si le contrôle judiciaire nous est confié, notre équipe assure le suivi et la vérification du respect des obligations, tout en engageant un travail de fond avec la personne pour prévenir la récidive, travailler sur les comportements et encourager l’autonomie et la non-violence.
Si nécessaire, notre dispositif d’hébergement peut accueillir la personne pour assurer une séparation géographique de la victime.
Dans l’hypothèse d’une condamnation, le suivi peut se poursuivre afin de continuer le travail engagé.
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Par le biais d’enquêtes sociales familiales et d’auditions de mineurs, l’ARILE éclaire le magistrat sur une situation familiale et effectue des préconisations pour l’organisation de la garde des enfants.
L’ARILE agit aussi, au pénal, pour prévenir la récidive en mettant l’accent sur la réinsertion sociale. L’objectif est d’accompagner les personnes concernées vers une prise de conscience et une réflexion constructive sur leurs actes.
Spécialisée dans la prise en charge des auteurs d’infractions, notamment de violences conjugales, l’ARILE est co-porteur, avec Espérer 95…
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